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28 Septembre 2022 Bol d'Or 2022 : la course du BMRT #24

Bien que les pilotes et les mécaniciens connaissaient cette Kawasaki depuis 2 courses (Le Mans et Spa), cette dernière semblait donner du fil à retordre à l’équipe qui affichait certes de bons chronos, mais pas ceux qu’on lui connaît. Qualifiée 21ème au général et 9ème stock, la #24 devait redoubler d’effort pour prétendre au podium…
Voici un résumé des grands moments de course : 
 
18h30
Nous pointions déjà à la 14ème position au général, 5ème stock. L'équipe était en pleine forme, motivée comme jamais. Nous restions néanmoins vigilants, il ne restait pas moins de 20h30 de course…
 
21h25
Les pilotes plaçaient la moto à la 12ème position au général, 5ème stock. Le jour venait de se coucher, et la nuit s’annonçait longue…

1h50
Une place de plus au général, soit la 11ème position, et 5ème stock. Les pilotes étaient dans les mêmes secondes, et roulaient à peine plus lentement qu'en plein jour. Mais nous n’étions pas à la mi-course, et nous nous apprêtions à attaquer les heures les plus compliquées. Néanmoins, les sourires ne quittaient pas les visages, et ce grâce aux innombrables messages de soutien reçus depuis le début de course.

4h30
L’équipe semblait stagner, nous étions de nouveau 12ème au général et 5ème stock. La nuit était fraîche. La nuit était longue. La motivation de chacun à rude épreuve…
# 24
 
La remontada : 
 
7h00
Grâce à la régularité de nos pilotes en piste et l'efficacité de nos mécaniciens dans le stand, nous étions désormais 9ème au général et 2ème stock ! Ce qui était plutôt de bon augure pour la suite, bien qu’il restait encore 8h de course.

7h50
Incroyable ! Une bataille mémorable très largement filmée par les chaînes officielles entre Anthony Loiseau et Jonathan Hardt sur la #41 ! (NB: anciennement sur la #24). Nous étions alors 9ème au général et 2ème stock avec surtout moins de 30 secondes
d'écart avec la #41. Le reste de la course promettait d'être intéressant !
 
11h20
La nuit avait été éprouvante, mais c'était le cas pour toutes les équipes qui avaient encore la chance de courir.
Nous n'avions pas rencontré de problème mécanique jusque lors. Les pilotes étaient (presque!) en pleine forme, et l'équipe technique enchaînait les cafés. Nous étions 8ème au général et 2ème stock, soit encore une place au général de gagnée ; les heures qui allaient suivvre allaient être mouvementées ! 

14h00
Il restait alors une heure de course, et nous étions toujours à la 8ème place au général et 2ème stock. Notre pilote emblématique Julien allait être pris de vilains maux de ventre et grosses nausées, la course allait finir avec Anthony et Loris qui puisaient dans
leurs dernières ressources. 
# 24
 
- Le podium
 
15h00
Nous venions de boucler une course sans embûche, avec des arrêts aux stands maîtrisés et des chronos réguliers. Une équipe soudée, dont les rires ont résonné dans le box durant une semaine. Une fois de plus, nous avons prouvé que nous pouvions travailler avec rigueur, professionnalisme, bienveillance et enthousiasme. Notre résilience et notre régularité auront également permis de montrer qu’une course d’endurance, même moins bien engagée que prévu, réserve de beaux succès à qui s’en donne les moyens. Nous n’avons jamais laissé la place à la démotivation et avons redoublé d’efforts pour gravir les marches de ce podium tant mérité.